Voici en exclusivité mondiale le projet de nouvelle rigueur, le plus courageux et le plus strict depuis 1945, présenté par François Fillon lundi en fin de matinée. Il est tellement révolutionnaire que le président Sarkozy n’a pas osé l’annoncer lui même.
Les niches fiscales seront toutes supprimées à partir du 25 décembre
Rétablissement de l’impôt sur la fortune
Tous les ministres circuleront désormais en bicyclette, sauf en cas ne neige
Les bénéfices des banques seront reversés au budget de l’Etat
La construction des deux nouvelles centrales équipées d’EPR est renvoyée au Calendes (Grecques, bien sur)
Toutes les entreprises auront l’obligation de verser leurs cotisations en retard à la sécurité sociale et à l’URSSAF pour le 25 décembre au plus tard.
Les restaurants offrant sur leurs menus, des plats supérieurs à 20 euros seront à nouveau assujettis à la TVA de 19,6 %
Les exonérations de charges patronales encourageant la généralisation des bas salaires sont supprimées à partir du premier janvier 2012
Mise en place d’une vignette spéciale pour les 4 x 4
Les porteurs de valises destinées aux partis seront devront acquitter une TVA de 33%
Les autoroutes désormais rentables seront renationalisées
Les cultures intensives de blé, de maïs, de tournesol, de colza et de betteraves ne bénéficieront plus de subventions agricoles
Arrêt immédiat des subventions destinées aux agro carburants
Augmentation de la taxe sur les pesticides et les engrais chimiques
Tous les équipements et objets « jetables » seront retirés du marché ou taxés
Le Fouquet’s, mesure symbolique, sera transformé en restaurant scolaire
Les paradis fiscaux seront envoyés en enfer
Rajoutons à cela :
-L'assasinat des petits vieux qui coûtent trop cher aux actifs et leur constuire des charniers
-Des cours d'économie et de chômage dès le CP
-Suppression du ministère de la justice
-Attaquer l'Iran avant Noël
-Voler le trône de Benoît XVI
-Organisation d'un entraînement de suicides collectifs
-Recycler les humains
-Demander à l'Angleterre le retour du corps du vrai Napoléon
Source: politis