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L'objectif de ce blog n'est pas de créer l'information. Il relai juste celles qui me semble intéressantes à votre compréhension du monde. Votre esprit critique sera votre arme.
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2 décembre 2021 4 02 /12 /décembre /2021 10:16

Oy !

Le Dailynuts-News vient d'ouvrir une page sur Télégram disponible à cette adresse :

t.me/DailyNutsNews

Wake up néo, il est temps d'ouvrir les yeux sur ce monde extra-ordinaire et plein de magie qui nous entoure ....

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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 10:18

 

L'or serait d'origine extraterrestre

gold-or.jpg

Des scientifiques anglais ont prouvé que l'or est arrivé sur notre planète à la suite de plusieurs bombardements de météorites, il y a 3,8 milliards d'années. 

Pour trouver l'origine de l'or, il faut regarder vers le ciel. Selon un rapport de scientifiques anglais publié dans la revueNature et repris dans Le Parisien, le métal précieux serait arrivé sur Terre grâce à deux périodes de pluies de météorites, au moment de la formation de la planète. 

"Notre travail montre que les métaux précieux sur lesquels se base notre économie et beaucoup de nos procédés industriels sont apparus sur notre planète par une heureuse coïncidence quand elle a été frappée par des millions de tonnes d'astéroïdes", explique le responsable de l'étude, Matthias Willbord, dans un article du site de l'Université de Bristol. 

Le bombardement le plus important a eu lieu à la formation de la planète. La collision de corps célestes gros comme la Lune a entraîné un dégagement de chaleur qui a provoqué la fonte des métaux précieux. Ce magma a ensuite été attiré vers le noyau terrestre. Un trésor incroyable sommeillerait donc aujourd'hui à 3000 kilomètres sous nos pieds: selon les scientifiques, le noyau terreste contiendrait suffisamment d'or pour recouvrir toute la surface de planète d'une couche épaisse de quatre mètres. 

Moins d'or à la surface de la terre

Mais si le noyau terrestre regorge d'or, ce métal est devenu précieux car il se fait rare à la surface de la Terre. L'équipe de Matthias Willbold, de la School of Earth Sciences de Bristolexplique cette richesse par un "bombardement tardif" de plus petits météores, il y a 3,8 milliards d'années. Les particules d'or qui ont alors atterri sont restées à la surface, en lieu et place des gisements que l'homme exploite actuellement.  

Pour arriver à cette découverte, les scientifiques anglais se sont intéressés au tungstène. Ce métal très dur a été lui aussi attiré vers le noyau lors de la formation de la Terre. Dans les zones qui n'ont pas été touchées par les bombardements tardifs, le taux de Tungstène est plus bas qu'ailleurs. S'il y en à moins, c'est parce qu'aucune météorite n'est venue en remettre dans les sols. Le rapport conclut donc que cette modification des taux de tungstène "prouve l'influence de ces bombardements tardfis sur la présence des métaux précieux sur nos sols.  

 

Source: L'express

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 21:34

Le pendentif qui fait parler 


La découverte récente d'un pendentif à l'Irikaitz (voir plus bas), site archéologique à Zestoa (dans la province basque de Gipuzkoa), a donné lieu à un débat animé...


site_archeologique_Irikaitz.jpg

Fouilles sur le site d'Irikaitz, Espagne.


Ce pendentif pourrait avoir près de 25.000 ans, ce qui en ferait le plus ancien découvert à ce jour sur des fouilles à l'air libre dans l'ensemble de la péninsule ibérique. Cette pierre, de neuf centimètres de long avec un trou pour la pendre au cou, en plus de servir de parure, aurait été utilisée pour aiguiser les outils.

La découverte a eu une grande répercussion, mais ce n'est pas la seule qui a été faite par l'équipe que dirige Alvaro Arrizabalaga: "Presque chaque année, quelque artéfact archéologique de grande valeur est découvert, parfois, même 8 ou 10. C'est un endroit très fructueux".
Irikaitz se trouve derrière la station thermale de bain de Zestoa, de l'autre côté de la rivière Urola à 14 mètres de la rive du fleuve.
L'archéologue de l'Université du Pays Basque (UPV / EHU) y a mené des fouilles été après été, avec des étudiants et des chercheurs de diverses universités et en coopération avec la Société des Sciences Aranzadi.
Depuis 1998, ils ont découvert 32 mètres carrés, ce qui n'est rien comparé aux huit hectares (au moins) de ce "gigantesque" site en plein air.
L'archéologie exige beaucoup de patience, mais les résultats valent la peine: "C'est comme si vous aviez trouvé quelque chose qui attendait de tomber entre vos mains depuis 200.000 ans".


Un site plein de surprises 

Les tâches se rapportant à un site archéologique sont longues et complexes dans tous les cas, mais plus particulièrement à Irikaiz.
Tout d'abord parce que le site est à l'air libre. Lorsqu'il s'agit de grottes, on sait qu'elles ont servi de refuges à nos ancêtres et, une fois leur emplacement identifié, il est fort possible que des trésors archéologiques s'y trouvent.
Les sites archéologiques à l'air libre, quant à eux, sont découverts lors de constructions de certaines infrastructures par le génie civil, et il est difficile de prédire ce qui sera trouvé.

Par ailleurs, à Zestoa il y a des restes du paléolithique inférieur, or il n'y a guère de références sur cette période au Pays Basque. Selon M. Arrizabalaga, quand ils ont commencé, "c'était comme une loterie. Nous ne savions pas à quoi nous attendre, que ce soit sur
 ​​la chronologie ou sur les types de vestiges susceptibles d'être découverts".
C'est précisément à cause de ce manque de références qu'ils ont été fascinés lorsqu'ils sont tombés sur des matières premières "totalement exotiques": des pierres volcaniques. "Lors de la première fouille, nous avons tout d'abord pensé que quelqu'un avait pu amener ces pierres pendant la construction du chemin de fer de l'Urola, afin de les utiliser comme lest. Tout était si surprenant et incroyable", dit l'archéologue.
En fait, ce phénomène a une autre explication logique: "Il s'agit d'une exception géologique. Dans la vallée du fleuve Urola il y a une couche de pierres volcaniques que la rivière a coupé, puis les a ramené à la surface jusqu'à les rapporter à cet endroit. C'est pourquoi les hommes de la préhistoire sont venus ici - il n'y avait aucun autre endroit dans le Pays Basque avec des pierres comme celles-ci".


Une marge de 350.000 années !

Le fait que les restes soient si anciens ou que les caractéristiques des matériaux soient si inhabituelles rend les datations d'Irikaitz très difficile; la plupart des méthodes couramment utilisées ont peu d'utilité ici.
Ainsi, par exemple, toute forme de datation des restes d'ossements est à écarter, contrairement à d'autres sites, car ici il n'y a guère de tels vestiges, la terre étant si acide qu'elle n'en a gardé aucune trace, ne laissant que les outils de pierre et les fossiles végétaux.
Une datation certaine est donc très improbable.

Ce que l'on sait, c'est qu'il y a eu deux périodes d'occupation humaine à Irikaitz, la plus récente remonte à 25.000 ans, lependentif découvert cet été date de cette époque.
Mais, c'est l'occupation la plus ancienne qui donne du fil à retordre aux experts. Oui, elle date de l'âge de pierre (du paléolithique inférieur), mais quand exactement ?
Il n'existe guère de sites archéologiques semblables à celui-ci permettant de servir de référence.


Une méthode de datation basée sur la luminescence.

Comme l'explique un archéologue: "il n'y a aucun autre cas du Paléolithique inférieur dans ces conditions, le long de la bande de terre bordée par le golfe de Gascogne, et seulement quelques-uns dans l'ensemble de la péninsule ibérique".
Il est impossible de réduire la marge de 350.000 ans: "Nous savons que l'occupation ne peut dater de moins de 150.000 ans (lorsque cette période se termine), et ne peut-être supérieure à 500.000 ans, parce que la mer recouvrait la région à cette période".

Par conséquent, sur la vingtaine de méthodes de datation actuellement existante, il n'y en a pas plus de deux applicables à Irikaitz. Toutes deux, impliquant la luminescence, sont utilisées par l'équipe d'Arrizabalaga pour tenter d'obtenir des résultats.
La première méthode permet de déterminer quand le soleil a illuminé un morceau de quartz pour la dernière fois; cependant, les résultats ne sont pas probants à ce jour.
La seconde méthode est basée sur thermo-luminescence, méthode avec laquelle ils travaillent actuellement: elle est appliquée à certains types de pierres qui ont subi un chauffage par le feu, et la mesure est basée sur la quantité de rayonnements accumulés.

Depuis 1998, plus de 500 personnes ont effectué des travaux de terrain sur ce site archéologique préhistorique d'Irikaitz; sans compter ceux qui ont apporté leur contribution par des études en laboratoire.
C'est donc un groupe de chercheurs considérable qui a travaillé avec ténacité pour apporter des résultats, quelque soit leur importance.
Beaucoup de ces chercheurs appartiennent à l'Université du Pays-Basque, comme M. Arrizabalaga. Et, bien que le fruit de leur travail soit de longue haleine, ils se sentent récompensés. "Si vous tapez -Irikaitz- dans Google, quelque 7.000 entrées apparaissent. Nous avons commencé à creuser en 1998 et, en 2001, le site a été mentionné comme référence dans l'histoire de cette zone géographique".


Source:

 

 

Retour sur  la découverte

Un pendentif vieux de 25.000 ans a été trouvé lors de fouilles dans la région basque d'Irikaitz au Nord de l'Espagne par les archéologues de l'Aranzadi Sociedad.

 

pendentif_espagne_25000_ans.jpg



L'objet, de forme oblongue, gris, en pierre polie d'environ 10 centimètres (4 pouces) de longueur, est perforé à une extrémité. Il semble qu'il ait été suspendu à une lanière ou un cordon autour du cou d'une personne, d'après le directeur des fouilles,Alvaro Arrizabalaga. D'après lui, l'autre extrémité de la pierre a été utilisé comme outil pour retoucher les bords d'outils en silex, comme des flèches ou des grattoirs.

L'objet vient de l'époque de Cro-Magnon.

Arrizabalaga estime que le pendentif est plus âgé que les autres artefacts trouvés jusqu'ici dans la grotte de Praileaitz et qui sont estimés à quelque 15.000 ans.

En outre, il précise qu'il y a "quelque 20 pièces de cette même époque" trouvé dans la péninsule ibérique à ce jour, avec un point commun les unissant: ils ont toujours été retrouvés dans des grottes.

"La pièce est très bien conservée et nous avons eu la chance de pouvoir le retirer sans l'endommager en aucune façon" lors des fouilles près de la ville de Zestoa, explique Arrizabalaga. Il pense que l'objet ne nécessite pas de restauration supplémentaire.

"Il y a vingt-cinq mille ans, les êtres humains de notre espèce sont venus à cet endroit qui était un lieu de chasse pour des groupes nomades". Les groupes déménageaient environ huit fois par an pour des zones où il y avait des types spécifiques des ressources. 

Le dépôt d'Irikaitz, où les archéologues ont commencé à travailler en 1998, est connu pour être le site où ont été découverts des objets remontant jusqu'à 250.000 ans, une période où les précurseurs de l'Homo sapiens n'avaient pas encore disparu.


Source:

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 21:34

Le pendentif qui fait parler 


La découverte récente d'un pendentif à l'Irikaitz (voir plus bas), site archéologique à Zestoa (dans la province basque de Gipuzkoa), a donné lieu à un débat animé...


site_archeologique_Irikaitz.jpg

Fouilles sur le site d'Irikaitz, Espagne.


Ce pendentif pourrait avoir près de 25.000 ans, ce qui en ferait le plus ancien découvert à ce jour sur des fouilles à l'air libre dans l'ensemble de la péninsule ibérique. Cette pierre, de neuf centimètres de long avec un trou pour la pendre au cou, en plus de servir de parure, aurait été utilisée pour aiguiser les outils.

La découverte a eu une grande répercussion, mais ce n'est pas la seule qui a été faite par l'équipe que dirige Alvaro Arrizabalaga: "Presque chaque année, quelque artéfact archéologique de grande valeur est découvert, parfois, même 8 ou 10. C'est un endroit très fructueux".
Irikaitz se trouve derrière la station thermale de bain de Zestoa, de l'autre côté de la rivière Urola à 14 mètres de la rive du fleuve.
L'archéologue de l'Université du Pays Basque (UPV / EHU) y a mené des fouilles été après été, avec des étudiants et des chercheurs de diverses universités et en coopération avec la Société des Sciences Aranzadi.
Depuis 1998, ils ont découvert 32 mètres carrés, ce qui n'est rien comparé aux huit hectares (au moins) de ce "gigantesque" site en plein air.
L'archéologie exige beaucoup de patience, mais les résultats valent la peine: "C'est comme si vous aviez trouvé quelque chose qui attendait de tomber entre vos mains depuis 200.000 ans".


Un site plein de surprises 

Les tâches se rapportant à un site archéologique sont longues et complexes dans tous les cas, mais plus particulièrement à Irikaiz.
Tout d'abord parce que le site est à l'air libre. Lorsqu'il s'agit de grottes, on sait qu'elles ont servi de refuges à nos ancêtres et, une fois leur emplacement identifié, il est fort possible que des trésors archéologiques s'y trouvent.
Les sites archéologiques à l'air libre, quant à eux, sont découverts lors de constructions de certaines infrastructures par le génie civil, et il est difficile de prédire ce qui sera trouvé.

Par ailleurs, à Zestoa il y a des restes du paléolithique inférieur, or il n'y a guère de références sur cette période au Pays Basque. Selon M. Arrizabalaga, quand ils ont commencé, "c'était comme une loterie. Nous ne savions pas à quoi nous attendre, que ce soit sur
 ​​la chronologie ou sur les types de vestiges susceptibles d'être découverts".
C'est précisément à cause de ce manque de références qu'ils ont été fascinés lorsqu'ils sont tombés sur des matières premières "totalement exotiques": des pierres volcaniques. "Lors de la première fouille, nous avons tout d'abord pensé que quelqu'un avait pu amener ces pierres pendant la construction du chemin de fer de l'Urola, afin de les utiliser comme lest. Tout était si surprenant et incroyable", dit l'archéologue.
En fait, ce phénomène a une autre explication logique: "Il s'agit d'une exception géologique. Dans la vallée du fleuve Urola il y a une couche de pierres volcaniques que la rivière a coupé, puis les a ramené à la surface jusqu'à les rapporter à cet endroit. C'est pourquoi les hommes de la préhistoire sont venus ici - il n'y avait aucun autre endroit dans le Pays Basque avec des pierres comme celles-ci".


Une marge de 350.000 années !

Le fait que les restes soient si anciens ou que les caractéristiques des matériaux soient si inhabituelles rend les datations d'Irikaitz très difficile; la plupart des méthodes couramment utilisées ont peu d'utilité ici.
Ainsi, par exemple, toute forme de datation des restes d'ossements est à écarter, contrairement à d'autres sites, car ici il n'y a guère de tels vestiges, la terre étant si acide qu'elle n'en a gardé aucune trace, ne laissant que les outils de pierre et les fossiles végétaux.
Une datation certaine est donc très improbable.

Ce que l'on sait, c'est qu'il y a eu deux périodes d'occupation humaine à Irikaitz, la plus récente remonte à 25.000 ans, lependentif découvert cet été date de cette époque.
Mais, c'est l'occupation la plus ancienne qui donne du fil à retordre aux experts. Oui, elle date de l'âge de pierre (du paléolithique inférieur), mais quand exactement ?
Il n'existe guère de sites archéologiques semblables à celui-ci permettant de servir de référence.


Une méthode de datation basée sur la luminescence.

Comme l'explique un archéologue: "il n'y a aucun autre cas du Paléolithique inférieur dans ces conditions, le long de la bande de terre bordée par le golfe de Gascogne, et seulement quelques-uns dans l'ensemble de la péninsule ibérique".
Il est impossible de réduire la marge de 350.000 ans: "Nous savons que l'occupation ne peut dater de moins de 150.000 ans (lorsque cette période se termine), et ne peut-être supérieure à 500.000 ans, parce que la mer recouvrait la région à cette période".

Par conséquent, sur la vingtaine de méthodes de datation actuellement existante, il n'y en a pas plus de deux applicables à Irikaitz. Toutes deux, impliquant la luminescence, sont utilisées par l'équipe d'Arrizabalaga pour tenter d'obtenir des résultats.
La première méthode permet de déterminer quand le soleil a illuminé un morceau de quartz pour la dernière fois; cependant, les résultats ne sont pas probants à ce jour.
La seconde méthode est basée sur thermo-luminescence, méthode avec laquelle ils travaillent actuellement: elle est appliquée à certains types de pierres qui ont subi un chauffage par le feu, et la mesure est basée sur la quantité de rayonnements accumulés.

Depuis 1998, plus de 500 personnes ont effectué des travaux de terrain sur ce site archéologique préhistorique d'Irikaitz; sans compter ceux qui ont apporté leur contribution par des études en laboratoire.
C'est donc un groupe de chercheurs considérable qui a travaillé avec ténacité pour apporter des résultats, quelque soit leur importance.
Beaucoup de ces chercheurs appartiennent à l'Université du Pays-Basque, comme M. Arrizabalaga. Et, bien que le fruit de leur travail soit de longue haleine, ils se sentent récompensés. "Si vous tapez -Irikaitz- dans Google, quelque 7.000 entrées apparaissent. Nous avons commencé à creuser en 1998 et, en 2001, le site a été mentionné comme référence dans l'histoire de cette zone géographique".


Source:

 

 

Retour sur  la découverte

Un pendentif vieux de 25.000 ans a été trouvé lors de fouilles dans la région basque d'Irikaitz au Nord de l'Espagne par les archéologues de l'Aranzadi Sociedad.

 

pendentif_espagne_25000_ans.jpg



L'objet, de forme oblongue, gris, en pierre polie d'environ 10 centimètres (4 pouces) de longueur, est perforé à une extrémité. Il semble qu'il ait été suspendu à une lanière ou un cordon autour du cou d'une personne, d'après le directeur des fouilles,Alvaro Arrizabalaga. D'après lui, l'autre extrémité de la pierre a été utilisé comme outil pour retoucher les bords d'outils en silex, comme des flèches ou des grattoirs.

L'objet vient de l'époque de Cro-Magnon.

Arrizabalaga estime que le pendentif est plus âgé que les autres artefacts trouvés jusqu'ici dans la grotte de Praileaitz et qui sont estimés à quelque 15.000 ans.

En outre, il précise qu'il y a "quelque 20 pièces de cette même époque" trouvé dans la péninsule ibérique à ce jour, avec un point commun les unissant: ils ont toujours été retrouvés dans des grottes.

"La pièce est très bien conservée et nous avons eu la chance de pouvoir le retirer sans l'endommager en aucune façon" lors des fouilles près de la ville de Zestoa, explique Arrizabalaga. Il pense que l'objet ne nécessite pas de restauration supplémentaire.

"Il y a vingt-cinq mille ans, les êtres humains de notre espèce sont venus à cet endroit qui était un lieu de chasse pour des groupes nomades". Les groupes déménageaient environ huit fois par an pour des zones où il y avait des types spécifiques des ressources. 

Le dépôt d'Irikaitz, où les archéologues ont commencé à travailler en 1998, est connu pour être le site où ont été découverts des objets remontant jusqu'à 250.000 ans, une période où les précurseurs de l'Homo sapiens n'avaient pas encore disparu.


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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 12:26

Des chercheurs allemands pourraient détenir la preuve que l'univers est un hologramme 

 

0000000000-copie-1.jpgAllez chercher votre chapeau de protection, parce que vous allez en avoir besoin. Des scientifiques allemands ont essayé de comprendre pourquoi leur équipement de mesures des ondes gravitationnelles a ce son si particulier. Ils ont découvert qu’une des réponses possibles est que l'univers entier est une illusion holographique:

 

Depuis de nombreux mois, l'équipe-membres du GEO600 se gratte la tête devant le bruit inexplicable qui sévit dans leur détecteur géant

 

Mais un chercheur approche une explication, et elle est étonnante. Celui-ci avait même prédit le bruit avant qu'il ait été détecté. Selon Craig Hogan, un physicien du Fermilab du laboratoire de Batavia, dans l’Illinois, et spécialiste de la physique des particules, GEO600 a trébuché sur la limite fondamentale de l'espace-temps - au point où l'espace-temps s'arrête et se dissout en grains comme le décrit Einstein,  tout comme une photo de journal se dissout en grain quand vous zoomez - GEO600 a été secoué par les convulsions microscopiques de l'espace-temps », explique Hogan.

 

Si cela ne souffle pas vos chaussettes !

 

Hogan qui vient d'être nommé directeur du Centre d'astrophysique de Fermilab, de poursuivre :  «Si les résultats sur le GEO600 sont vrais, alors nous sommes tous vivants dans un hologramme géant cosmique. "

 

L'idée que nous vivons dans un hologramme est absurde au  premier regard, mais c'est un prolongement naturel de notre meilleure compréhension des trous noirs.

 

Les hologrammes que vous trouverez sur les cartes de crédit et des billets sont gravés sur des films plastiques en deux dimensions. Lorsque la lumière rebondit sur eux, elle recréé l'apparence d'une image 3D. Dans les années 1990 les physiciens Leonard Susskind et le prix Nobel Gerard 't Hooft ont suggéré que le même principe pourrait s'appliquer à l'univers. Notre expérience quotidienne pourrait être en soi une projection holographique de processus physique qui se déroule sur une distance, de surface 2D.

 

Traduction: WikiStrike

 

Source: neoterama.com (original en anglais ci-dessous)

 

 

 

GEO600 ?

L'interféromètre GEO600est un projet germano-britannique d'interféromètrede typeMichelson, construit près deHanovreen Allemagne.

Il est destiné à détecter d'éventuellesondes gravitationnellesdont le passage serait susceptible de modifier de façon infime la longueur des bras de l'interféromètre. Dans le but d'augmenter la longueur de ces bras, on utilise deux cavités de typeFabry-Perotdans chaque bras.

L’observation des ondes gravitationnelles est destinée à compléter de manière importante l’observation des ondes électromagnétiques (ondes lumineuses, radio etmicro-ondes,rayons gammaetX) ainsi que des astro-particules (rayons cosmiques,neutrinos

). Leur étude permet de révéler des aspects de l’univers jusqu’alors inconnus et d’étendre le domaine d’observation jusque dans les régions assombries par la poussière et masquées par d’autres phénomènes.

 


 

 

 

 

Go get your protective tin foil hat, because you’re going to need it. German scientists have been trying to understand why their equipment that measures gravitational waves has been picking up a particular sound. One possible answer that they’ve come up with is that the entire universe is a holographic illusion:

For many months, the GEO600 team-members had been scratching their heads over inexplicable noise that is plaguing their giant detector. Then, out of the blue, a researcher approached them with an explanation. In fact, he had even predicted the noise before he knew they were detecting it. According to Craig Hogan, a physicist at the Fermilab particle physics lab in Batavia, Illinois, GEO600 has stumbled upon the fundamental limit of space-time – the point where space-time stops behaving like the smooth continuum Einstein described and instead dissolves into “grains”, just as a newspaper photograph dissolves into dots as you zoom in. “It looks like GEO600 is being buffeted by the microscopic quantum convulsions of space-time,” says Hogan.

If this doesn’t blow your socks off, then Hogan, who has just been appointed director of Fermilab’s Center for Particle Astrophysics, has an even bigger shock in store: “If the GEO600 result is what I suspect it is, then we are all living in a giant cosmic hologram.”

The idea that we live in a hologram probably sounds absurd, but it is a natural extension of our best understanding of black holes, and something with a pretty firm theoretical footing. It has also been surprisingly helpful for physicists wrestling with theories of how the universe works at its most fundamental level.

The holograms you find on credit cards and banknotes are etched on two-dimensional plastic films. When light bounces off them, it recreates the appearance of a 3D image. In the 1990s physicists Leonard Susskind and Nobel prizewinner Gerard ‘t Hooft suggested that the same principle might apply to the universe as a whole. Our everyday experience might itself be a holographic projection of physical processes that take place on a distant, 2D surface.

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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 11:38

 

Chemtrails : Météo France nous explique enfin le mystère

 

 chemtrails_758805.jpg

Météo France, via la présentatrice Stéphanie Kern, tout sourire, « toute gaite », comme dirait Coluche, et qui nous parle en articulant bien comme lorsqu’on s’adresse aux ploucs, nous explique enfin le mystère des traînées blanches laissées par les avions :

Tout le monde il est gentil, tout le monde il est beau, et les avions arrosent gentiment nos jardins un peu secs

Cela doit être vrai, puisque c’est Météo France qui nous le dit

Le hic, c’est que c’est faux, et la denture, même déployée à toute vapeur (d’eau), et les pas de paso doble de Stéphanie Kern ont du mal à faire passer la pilule (ou la particule).

Vous notez qu’elle prend bien soin de différencier le voile des traînées … eh non : le voile est bien le résultat de la confluence des traînées et pour cause, car ces traînées sont en fait des épandages particulaires, destinées à masquer, par la confection d’un voile, le rayonnement solaire et à freiner le réchauffement planétaire, réchauffement que tout le monde perçoit.

Même les ploucs comprennent le processus.

Ce réchauffement est d’allure exponentielle : il faut donc se hâter à tirer le rideau ! Alors on saupoudre.

Car pourquoi diable, Stéphanie, ces longues traînées blanches, de couleur rose le soir (oh que c’est beau…) apparaissent-elles à présent et pas auparavant ?

Ces observations sont bien nouvelles car pourquoi ne les signaliez-vous pas avant ?…

La couleur rose est liée aux particules et est de même nature que le rose constaté lors des éruptions volcaniques, éruptions qui ont la propriété de refroidir l’atmosphère par le masquage solaire dû aux particules qu’elles contiennent, notamment le soufre : cqfd, on mime bien un « effet Pinatubo ».

On remarque enfin que cette présentatrice ne prononce jamais le mot « chemtrails », mot tellement tabou qu’il ne figure pas dans les moteurs de recherche des medias traditionnels et encore moins dans celui… de La Chaine Météo !

Puisse Stéphanie Kern nous expliquer, aussi professoralement, cette vidéo un peu étrange : s’agit-il de condensation intermittente ?

L’avion se met-il en mode planeur ?… par mesure d’économie sans doute?…

Dernière question : Stéphanie raconte-t-elle les mêmes fables à ses enfants ?

 

"Des trainées de condensation", "des avions à réaction roses ?"(coucher de soleil - ou Phebus c'est^plus joli, juste avant Sélène, et juste avant les néréides), "un cliché nommé ange de Noël" , "un véritable cours de géométrie", "la  trainée la plus fine est la plus récente" (je dirai que c'est la plus mignonne), bref, une seule phrase valait la peine (hormis Madame que j'invite ce soir à fêter la nouvelle année, laquelle je laisse l'adresse wikistrike@gmail.com et my number phone 0148bip04bip, une adresse que possède déjà CIA, FSB, "Frenchboysdeoufs" ...: mais une adresse féconde, tellement féconde) : "Votre cerceau nous appartient"

Si Steph répond à cette question et je tiens le pari, car qui n'est pas pari n'est pas wiki (ou l'inverse), je t'épouse (et sache que j'épouse bien): Peux-tu prononcer le mot "chaim-trails à l'antenne la prochaine fois ?" (Pas cap'). Je m'appelle Doyle, Ghisham Doyle, et je t'aime...après, tout dépens de toi...

 

(Cet article est classé dans "politique international", ne me demandez pas pourquoi)


 

 


 

LePost

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 18:26

Les scientifiques stupéfaits de voir de nouvelles îles volcaniques émerger de la mer Rouge, les WikiIslands


111228-jebelzubair-ali.grid-5x2.jpgLa mer Rouge a un nouvel habitant: une île fumante.

L'île a été créée par une éruption qui a eu lieu dans la mer Rouge au début du mois.

Elle est faite de débris volcaniques détachés de l'éruption.

Selon les nouveaux rapports, les pêcheurs témoin de l'éruption de lave, parlent d’une île atteignant 30 mètres. Le 19 décembre est probablement le jour du début de l'éruption , a déclaré Erik Klemetti, volcanologue à l'université de Denison à Granville, dans l'Ohio.

Les panaches de cendres ont été vus émanant le 22 décembre par un spectroradiomètre, un imageur à résolution modérée, ou MODIS, grâce aux stellites de la NASA.

L'instrument de surveillance de l'ozone par le satellite Aura de la NASA a détecté des concentrations élevées de dioxyde de soufre, indicateur d’une éruption.

Le 23 décembre, ce qui ressemble à une île nouvelle est apparue dans la mer Rouge au large de la côte ouest du Yémen. "Je suis surpris de la rapidité avec laquelle l'île a augmenté", écrit, Klemetti sans son blog OurAmazingPlanet.

L'activité volcanique s'est produite le long du Groupe Zubair, un groupe de petites îles orientées nord-ouest/sud-est.

 

Les scientifiques vont garder un œil attentif sur la nouvelle île pour voir si celle-ci ne sombrera pas.  "Parfois, les îles sont éphémères car faites de débris volcaniques, de sorte qu'elles sont détruites par l'action des vagues assez rapidement", a déclaré Klemetti.

 

Mais l'activité volcanique pourrait dépasser l'érosion due à l'action des vagues.

 

D'autres îles nouvellement apparues :

-Surtsey, Islande,

- Anak Krakatau dans la caldeira du Krakatoa en Indonésie

- Hunga Tonga-Hunga Ha'apai à Tonga dans le Pacifique Sud.

 

WikiStrike nomme ces nouvelles îles : les WikiIslands

 

Source: MSNBC  , the extinction protocol 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 18:24

L’enseignement de l’Histoire sur les actes déclencheurs de Guerre Mondiale

Voici ce que l’on pouvait lire dans un numéro de la Revue Internationale des Sociétés Secrètes(R.I.S.S.) :

« Ce ne sont pas, en effet, les vieilles barbes engoncées dans les oripeaux, et les ventres alourdis par de trop fréquentes agapes qui descendent dans la rue quand il s’agit de réaliser les beaux projets mûris à la douce chaleur des ateliers. Des jeunes sont là qui ne demandent qu’à’ marcher’… ; on les encourage, on les excite à l’occasion, et si par aventure, les coups préparés échouent ; on renie les héros malheureux, et on les abandonne. C’est là toute l’histoire de la Franc-Maçonnerie, et les carbonari ne furent que les agents d’exécution de cette secte. » (p. 277, 1937)

Chacun se souviendra de l’attentat du 28 juin 1914. Comme pour l’attentat du 11 septembre 2001, certaines personnes avaient signalé qu’une conspiration était en cours pour déclencher la Première Guerre mondiale. « Le 15 septembre 1912, la Revue Internationale des Sociétés Secrètes contenait les lignes suivantes (p. 788): « Peut-être s’expliquera-t-on un jour le propos tenu par un haut maçon, en Suisse, à l’égard de l’Archiduc héritier : “Il est bien. C’est dommage qu’il soit condamné. Il mourra sur les marches du trône”». (1931, p. 690.) Cet avertissement avait été communiqué à Mme la duchesse de Hohenberg en personne. Cela se passait donc DEUX ANS avant le drame déclencheur de la guerre de 14-18.

Puis il y eut les résultats du procès de Salonique. Selon les sténogrammes du procès des conjurés de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand du 28 juin 1914 : « Derrière Princip se trouvait une organisation révolutionnaire, quelqu’un de plus fort, car par eux-mêmes, ils n’auraient pu acheter ces bombes ». « J’ai vu qu’il y avait derrière lui de puissantes influences ». L’acte déclencheur de la guerre était bien le fait de cercles occultes qui n’ont pas changé.

Qu’en fut-il de la Seconde Guerre mondiale ? Quelques mois après la fin de la Première Guerre mondiale un certain caporal Adolf Hitler arrive dans l’arrière-salle d’une taverne munichoise, où sont réunis les créateurs d’un parti politique : le Parti ouvrier allemand. Peu d’années après, ces mêmes conspirateurs attachés à la Thulé Gesellschaft, prendront le pouvoir, après avoir initié le petit caporal aux cultes de la terre et du sang.

Mais les nazis n’ont rien inventé ; il existait en Bavière une tradition de société secrète partie de presque rien et qui, un jour, a commencé à tirer les ficelles de la réalité politique. Ainsi les Illuminés de Bavière, apparus à la fin du XVIII° siècle joueront-ils un grand rôle dans les révolutions jusqu’au milieu du XIX° siècle, où ils entreront dans une mystérieuse clandestinité. On ne parlera plus de cette secte jusqu’à la guerre de 1914, lorsque, préfigurant le nazisme, se créeront, en Allemagne du Sud, une multitude de mini-sociétés secrètes… La boîte de Pandore était ouverte sur 1939-1945 ! et sur le 11 septembre 2001.

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25 décembre 2011 7 25 /12 /décembre /2011 12:07

Des scientifiques démontrent que nos consciences sont reliées au champ magnétique terrestre

 

La science, nous dit Gregg Braden dans cette vidéo, permet dorénavant de vérifier la véracité d'une hypothèse soutenue depuis la nuit des temps par diverses traditions et cultures : à savoir que les humains sont tous liés les uns aux autres par un champ magnétique et qu'ils font partie intégrante de la terre et de ses changements. Et du fait même de ce lien, l'être humain, consciemment ou inconsciemment, agit aussi sur le champ magnétique terrestre par les pensées qu'il entretient et les émotions qu'il ressent comme cela a été démontré, par exemple, par les relevés satellites juste avant la catastrophe du 11 septembre.


A propos de Gregg Braden

Auteur à succès et guide de sites sacrés à travers le monde, Gregg Braden a participé, en tant qu'invité d'honneur, à plusieurs conférences et événements médiatiques portant sur les changements personnels et planétaires. Auparavant chercheur en sciences de la nature et concepteur senior de systèmes informatiques dans l'industrie aérospatiale, Braden est maintenant reconnu dans le monde entier dans les domaines de la philosophie spirituelle et des traditions anciennes et indigènes. Grâce à ses voyages dans des villages de montagnes reculés, dans des monastères et des temples des temps anciens, il réussit à faire le pont entre la sagesse passée et la science moderne, assimilant les bénéfices des traditions perdues à notre vie de tous les jours.

 

Source : 2012 un nouveau paradigme

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 11:17

Un arc-en-ciel blanc !

 

Un phénomène rare appelé arc de brouillard a été photographié au pôle Nord. L’image a été prise le 28 juillet dernier lors d’une expédition  à bord d’un navire brise-glace. Il a été immortalisé par Sam Dobson, photographe à bord. Le phénomène observé est similaire à celui d’un arc-en-ciel mais il apparaît sans couleur, les gouttelettes du brouillard étant plus petite la lumière est diffractée et les couleurs se superposent.


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Image CATERS NEWS AGENCY/SIPA

Sciences et Avenir.fr

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