L'un des plus grands points à retenir de l'événement annuel sur les produits d'Amazon est la nécessité d'un enregistrement constant, que ce soit à la maison ou dans la voiture.
Si les lecteurs ne voient rien de mal à la prolifération de la surveillance de masse, néanmoins, une foule de produits de surveillance toujours actifs exploités par une méga-société, le moment est peut-être venu d'acheter un drone monté sur caméra qui peut bourdonner à l'intérieur de votre maison, en cherchant pour les intrus ou en s'assurant que le poêle n'est pas allumé.
Lors de l'événement Amazon, Ring a annoncé jeudi la Always Home Cam, une "caméra intérieure compacte, légère et volant de manière autonome" qui peut voler dans la maison à la recherche de perturbations.
Le petit drone coûtera 250 $ et sera lancé si un autre produit Ring est déclenché; Il peut répondre à toute une série d'urgences telles que les effractions et les incendies. Après le lancement, le drone vole vers la source de la perturbation, produisant un flux en direct pour l'utilisateur final.
La technologie semble merveilleuse, qui ne voudrait pas qu'un drone de sécurité personnel surveille leur maison, mais encore une fois, elle appartient à Amazon, ce qui soulèvera sans aucun doute des signaux d'alarme concernant la confidentialité.
Big Brother Watch, un groupe de défense britannique à but non lucratif, a décrit le drone comme le "produit de surveillance à domicile le plus effrayant" à ce jour.
"Il est difficile d'imaginer pourquoi Amazon pense que quiconque veut des caméras Internet volantes reliées à une société de collecte de données dans l'intimité de leur propre maison", a déclaré Silkie Carlo de Big Brother Watch à la BBC .
"Il est important de reconnaître l'influence que le développement des produits d'Amazon a sur les communautés et le marché en croissance de la surveillance", a déclaré Carlo.
Si les lecteurs le savent, Ring s'est récemment associé à plus de 400 agences d'application de la loi à travers le pays, permettant à la police d'accéder aux images de la caméra des propriétaires si nécessaire. Les partenariats permettent à la police d'exploiter des millions de caméras connectées à Internet pour résoudre des crimes.
Les accords de Ring avec la police alimentent des questions plus larges sur la confidentialité, la surveillance et la portée croissante des géants de la technologie et de la police locale dans les maisons privées.
Source : ZeroHedge
Les riches associés du pédophile décédé Jeffrey Epstein sont sur le point de recevoir une attention indésirable (ou plus) , après que le procureur général des îles Vierges américaines, Denise George, ait assigné les journaux pour chaque vol effectué par les quatre hélicoptères et trois avions d'Epstein entre 1998 et sa mort en 2019, selon The Mirror .
La succession d'Epstein a été nommée dans un procès intenté par George qui allègue 22 chefs d'accusation d'activités illégales - y compris le viol, la maltraitance d'enfants, la négligence, la traite des êtres humains, le travail forcé et la prostitution.
George recherche également toute «plainte ou rapport de conduite potentiellement suspecte», ainsi que toute note personnelle prise par les pilotes de longue date d'Epstein - et les coordonnées de toute personne qui a travaillé pour eux et qui aurait «interagi avec ou observé» Jeffrey Epstein ou des passagers. .
En 2009, le pilote David Rogers a fourni des journaux révélant que Bill Clinton, le prince Andrew, Kevin Spacey, Naomi Campbell et d'autres faisaient partie des passagers de haut niveau d'Epstein.
Un ensemble distinct de journaux existe, cependant, du pilote en chef Larry Visoski, pilote d'Epstein depuis 25 ans .
Selon une source légale qui s'est entretenue avec le Mirror , "Les dossiers qui ont été assignés donneront à ceux que Rodgers a fournis un post-it", ajoutant " Il y a de la panique parmi de nombreux riches et célèbres. "
Selon l'assignation, Jet Aviation Holdings USA Inc. doit remettre les documents dans les 30 jours suivant la signification , ce qui aurait eu lieu le 3 septembre.
Source : ZeroHedge
Le journaliste bien connu Glenn Greenwald a une fois de plus déclenché un débat intense sur la gauche en refusant de se conformer à tout niveau de réflexion de groupe.
Vendredi, il a réfléchi au procès d'extradition en cours de Julian Assange à Londres, expliquant pourquoi les médias américains traditionnels ont apparemment laissé tomber Assange de son radar , malgré les premières années des révélations les plus explosives de WikiLeaks travaillant en étroite collaboration avec Assange en termes de corroboration couverture.
"Mais un autre est que de nombreux libéraux croient que leurs adversaires politiques méritent d'être en prison", a déclaré Greenwald, passant à l'offensive.
Et c'est là que le journaliste fondateur le plus célèbre de The Intercept a commencé à s'exagérer par les libéraux sur ce que Trump représente et comment il est arrivé au pouvoir:
«Si vous partez du principe que Trump est un dictateur fasciste qui a apporté la tyrannie nazie aux États-Unis, alors il n'est pas si irrationnel de croire que quiconque a contribué à autonomiser Trump (c'est ainsi qu'ils voient Assange) mérite d'être emprisonné, d'où le manque de préoccupation à ce sujet », a déclaré Greenwald.
Essentiellement, Greenwald dit: `` Non, Trump n'est pas un nazi '' - et cette croyance erronée ne fera qu'aggraver les erreurs lorsqu'il s'agira d'autres problèmes urgents tels que le sort d'Assange.
Greenwald a précédemment abordé les "arguments autoritaires" qui affirmaient que le fondateur de WikiLeaks ne méritait pas de protection journalistique.
Plus tôt ce mois-ci, le président Trump a choqué de nombreux initiés de l'État de sécurité nationale en suggérant qu'il serait peut-être prêt à pardonner à Edward Snowden.
Alors que l'affaire Assange serait sans aucun doute un obstacle beaucoup plus important pour Trump en termes de répulsion féroce de `` l'État profond '' qui suivrait à coup sûr toute considération similaire, cela reste une possibilité, en particulier si Trump reprenait la Maison Blanche à nouveau après novembre. .
Source : ZeroHedge
Ce n'est pas le rôle de Numerama d'évoquer des affaires sans lien avec le numérique, comme l'affaire Carla Bruni mise au jour par Frédéric Martel dans un article publié par Marianne . Les soupçons qui pèsent sur la Première dame de France et sa Fondation sont loin de l'univers que nos commentons quotidiennement. Sauf lorsqu'une partie touche à Internet, et qu'elle nous fait bondir.
Dans un article publié vendredi, Mediapart révèle que le Fonds mondial de lutte contre le sida a versé 132 756 euros à une entreprise baptisée La Fabrique du Net, "pour réaliser la partie « lutte contre le sida » du site Carlabrunisarkozy.org". De quoi nous donner l'envie de creuser...
Cette société, comme toute bonne entreprise spécialisée dans le web, ne semble pas avoir son propre site internet . Il s'agit d'une SARL unipersonnelle fondée en 2009 et gérée par son associé unique, Jérôme Blouin. Un professionnel de la pub et du marketing qui a fait ses armes principalement chez FKGB et Heaven/Edelman. L'homme de 38 ans apparaît aux côtés de Carla Bruni-Sarkozy sur une photographie prise à l'occasion du concert donné à Londres par Paul McCartney en juin 2010 :
Son nom apparaît également pour la "conception et coordination internet" du site Atoidejouer , commandé par la Fondation Carla Bruni-Sarkozy dans le cadre de son programme d'éducation musicale. Pour ces deux sites, il travaille en collaboration avec Julien Civange, le principal protagoniste du "Carla Gate", présenté comme un proche de Carla Bruni-Sarkozy. Frédéric Martel indique qu'il a été le témoin de son mariage avec le président de la République, tandis que le Canard Enchaîné écrit qu'il aurait un bureau à l'Elysée, où il exercerait une fonction de conseiller rémunéré de la Première dame.
Concrètement, la partie "lutte contre le Sida" du site de la Fondation, qui a donné lieu au versement de 132 756 euros par le Fonds mondial de lutte contre le Sida, compte 6 pages principales sans fioritures, réalisées sous le système open-source Wordpress. Les deux plus complexes sont la galerie , qui compte 46 photos légendées, et la page "actualités " qui compte également 52 billets sur l'actualité de la Fondation en matière de lutte contre le sida. La plupart de ces billets sont composés d'un seul paragraphe de quelques lignes accompagné d'une photographie. Ils ont été rédigés entre décembre 2008 et décembre 2011. Soit une moyenne de 17 billets par an.
Chacun jugera de la proportion du devis, accepté sans appel d'offres. Et de l'opportunité humaniste de facturer une prestation que beaucoup auraient probablement accepté de réaliser bénévolement, pour apporter leur pierre à la lutte contre le HIV.
Source: Numerama
Les libéraux promettent également, en cas de victoire en 2015, une "amnistie pour tous les Canadiens antérieurement condamnés pour possession simple ou minimale de marijuana et s'assurera de l'élimination de tout antécédent criminel relatif à cela", selon le texte de la motion.
C'est désormais Michael Crawley, président du parti libéral pour l'Ontario, la plus riche province du pays, qui dirigera la formation, avant la désignation, en 2013, du candidat officiel en vue des élections fédérales. M. Crawley, entrepreneur dans le secteur de l'énergie, a été élu au détriment de l'ancienne ministre Sheila Copps.
Le parti libéral a été laminé aux dernières élections législatives, remportées par les conservateurs du Premier ministre Stephen Harper, entraînant la démission de son ancien chef, Michel Ignatieff. Le parti a perdu son statut de deuxième formation du pays au profit du Nouveau parti démocratique (NPD, gauche).
Lors de leur convention, les libéraux ont par ailleurs refusé que le Canada prenne ses distances avec la monarchie britannique. Les jeunes libéraux avaient soumis au vote un texte selon lequel les libéraux étudieraient les moyens d'élire un chef d'Etat canadien et, ainsi, de rompre tout lien officiel avec la Couronne britannique. Cette motion a été rejetée à 67%.
Ils ont par ailleurs écarté l'idée d'organiser des primaires à l'américaine pour élire le chef du parti.
Source: Lematin.ch
Un décret publié en décembre permet aux agents de sécurité des logements sociaux d'être équipés de matraques et de bombes lacrymogènes.
Il ne fait pas l'unanimité. Un décret du ministère de l'Intérieur du 21 décembre permet aux agents de surveillance et de gardiennage des immeubles collectifs de type HLM d'être munis de bâtons de défense de type "tonfa" et de gaz lacrymogènes. Il devrait être appliqué dans quelques semaines, le temps que soit à son tour publié l'arrêté concernant la formation des agents et que soient délivrées les autorisations pour le port des matraques.
"A Paris, les quelques 250 agents du GPIS (groupement parisien inter-bailleurs de surveillance) interviennent la nuit dans quasiment autant d'ensembles immobiliers sociaux regroupant aux alentours de 65.000 logements" explique au "Nouvel Observateur" le maire UMP du 15e arrondissement, Philippe Goujon, qui avait fait adopter l'amendement dans le cadre de la loi du 2 mars 2010 dite "loi Estrosi" sur "les violences en bandes", comme le rappelle "Le Parisien". Employés par un GIE (groupement d'intérêt économique) regroupant la plupart des bailleurs sociaux parisiens, "une centaine" de ces agents disposant de contrats de droit privé sont victimes d'agressions chaque année, affirme le maire du 15e.
D'où la volonté de "protéger le personnel", et de "dissuader les personnes agressives". La mission première de ces agents est "d'aller au contact de la population, d'essayer de désamorcer certains conflits, et de dissuader certains d'aller plus loin" rappelle le maire. Avant d'ajouter : "que peuvent-ils faire quand on leur saute dessus, qu'ils sont pris à partie ou attaqués par des bandes ? Ils n'ont aucun moyen de défense".
Des arguments qui font bondir Luc Poignant du syndicat SGP Unité Police FO qui n'y voit qu'une "vraie mauvaise idée". Le fait que les agents de surveillance soient pourvus d'une matraque visible pourrait même, dit-il, être source de conflits : "quand certains jeunes, qui savent que le but de ces agents est d'entretenir de bonnes relations avec la population, verront qu'ils sont armés, ne vont-ils pas se dire que les agents peuvent aussi attaquer ?" Le secrétaire général de SGP Unité Police FO, Nicolas Comte, va plus loin : "dans certains quartiers de Paris, des tracts sont distribués aux habitants pour les inciter à appeler le GPIS plutôt que la police. On privatise la sécurité de certains quartiers, tout en jouant sur la similitude des tenues, et le port d'armes ne fera que renforcer cette confusion."
S'il n'affirme pas non plus que l'idée est bonne, son collègue d'Alliance police Jean-René Deleu n'est "pas surpris" par l'initiative : "ces agents, qui sont régulièrement pris à partie, doivent pouvoir porter assistance et se défendre eux-mêmes" argue-t-il, précisant que les armes qui leur sont attribuées sont avant tout "des armes de défense." Depuis octobre dernier, des patrouilles mixtes mêlant policiers et agents du GPIS sont organisées dans certains quartiers de la capitale, assure Philippe Goujon. A Belleville notamment, précise Jean-René Deleu. Quel intérêt à les armer s'ils accompagnent des policiers ? "Et si à un moment l'agent se retrouve seul ?" rétorque le maire du 15e.
Côté formation, les agents auront droit à une formation initiale et continue, assure encore Philippe Goujon : "une partie théorique reprendra les bases du port d'armes, de la légitime défense et les règles du code pénal, puis une partie pratique renforcera le maniement du tonfa". Le maire du 15e ignore la durée de la formation qui devrait être "très courte" et ne pas excéder "quelques jours." Mais les autorisations de port d'armes, délivrées par le préfet de police et valables 5 ans, "seront délivrées au cas par cas" insiste-t-il, "et chaque agent devra délivrer un certificat médical."
Nicolas Comte craint une "sécurité à deux vitesses", mais s'inquiète aussi des "dérives" possibles liées à cet armement. Mais Philippe Goujon est serein : "il s'agit d'armes classiques, les agents sont en général déjà formés à leur utilisation, et le tonfa ressemble plutôt à ce qui est utilisé par de nombreux agents de sécurité pratiquant les arts martiaux." Rassurant.
Egalement contactée par "Le Nouvel Observateur", la préfecture de police de Paris n'était pas disponible pour l'instant.
Source: Le nouvel Observateur