Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Dailynuts-news
  • : Presse libre et alternative.
  • Contact

Nuts

  • dailynuts-news
  • Citoyen et troubadour - Virus de la paix et de la justice social. 
L'objectif de ce blog n'est pas de créer l'information. Il relai juste celles qui me semble intéressantes à votre compréhension du monde. Votre esprit critique sera votre arme.
  • Citoyen et troubadour - Virus de la paix et de la justice social. L'objectif de ce blog n'est pas de créer l'information. Il relai juste celles qui me semble intéressantes à votre compréhension du monde. Votre esprit critique sera votre arme.

Recherche

26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 11:17

Pétition à l'attention des députées et députés européens

 

00000000000000000000000000000000000000000000000000-copie-1.PNG

Concerne : Directive sur les plantes médicinales traditionnelles

Madame, Monsieur,

Je viens d’apprendre avec stupeur l’existence d’un projet européen visant à interdire la plupart des médicaments à base de plantes à partir du 1er avril 2011.

Il s’agit d’une offensive sans précédent menée par les lobbies pharmaceutiques pour limiter de façon draconienne les options de traitement en cas de problème de santé, et garantir ainsi leurs milliards d’euros de profits annuels.

Si elle était appliquée, cette Directive irait très au-delà d’une réglementation raisonnable des produits dangereux : elle rendrait illégale du jour au lendemain des dizaines de milliers de traitement efficaces, d’un usage courant depuis des milliers d’années et sans les effets secondaires des médicaments modernes issus de la pétrochimie.

Des centaines de plantes européennes sont concernées, mais également toutes les plantes de la médecine traditionnelle chinoise (MTC), celles de l’Ayurveda (médecine indienne), ou celles des traditions amazoniennes ou africaines accessibles aujourd’hui sur le sol européen.

Nous n’accepterons pas qu’on nous prive ainsi du savoir ancestral de la médecine des plantes pour le seul profit des multinationales pharmaceutiques.

Je vous prie donc instamment d’exercer les pressions nécessaires sur le Parlement européen, ainsi que sur la Direction générale de la santé et des consommateurs (DG SANCO), pour que soit présenté dans les meilleurs délais un nouveau texte reconnaissant les vertus thérapeutiques des préparations à base de plantes et accordant à chacun la liberté de choisir pour lui-même les thérapeutes et les traitements qui lui semblent les plus appropriés.

Veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes salutations respectueuses.

 

Voir la vidéo

Signez

 

Source: defensemedecinenaturelle.com

Partager cet article
Repost0
26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 11:16

 

Australie: tu puces vaccines tes mômes ou on t’enléve 2100$ d’avantage fiscaux…

images.jpgLe gouvernement fédéral va retenir plus de $ 2100 dans les avantages fiscaux pour les familles qui refusent de faire vacciner leurs enfants.

Cette idée vient du gouvernement Gillard pour augmenter le taux de vaccination, avec un enfant sur 10 en Australie qui n’est pas immunisé.

Il s’inscrit dans le cadre d’un important remaniement du programme national de vaccination qui comprend l’introduction d’un super vaccin.

Les enfants devront être vaccinés contre la varicelle, le méningocoque C et l’infection pneumococcique à partir du 1 Juillet 2013.

Un nouveau vaccin combiné sera également ajouté au programme en 2013 pour protéger les enfants contre quatre maladies différentes – la rougeole, les oreillons, la rubéole et la varicelle.

Ce vaccin sera administré aux enfants à 18 mois, au lieu de l’âge de quatre ans avec le vaccin ROR pour protéger contre la rougeole, les oreillons et la rubéole.

Le gouvernement va annoncer aujourd’hui qu’à partir de Juillet les familles auront besoin d’avoir leurs enfants complètement vaccinés afin de recevoir de la part des prestations familiales fiscales un supplément de fin de l’année.

Le supplément, d’une valeur de 726 $ par enfant chaque année, ne sera désormais versée une fois que l’enfant sera complètement vacciné à un, deux et cinq ans, ce qui signifie plus de 2100 $ qui pourrait être retenu.

Les nouveaux chèques d’immunisations seront introduit pour un ans afin de compléter les contrôles existants à deux et cinq ans.

Les familles sont déjà tenus d’avoir leur enfant complètement vacciné pour recevoir le remboursement de garde d’enfants et de bénéficier de garde.

Les nouvelles dispositions remplaceront l’allocation de maternité d’immunisation qui fournissait 129 $ pour les familles qui répondent aux exigences d’immunisation lorsque leur enfant auront deux et cinq ans.

Nicola Roxon, ministre de la Santé a déclaré: «Nous savons que la vaccination est fondamental à la santé d’un enfant et c’est pourquoi nous voulons faire en sorte que les enfants soient vaccinés au bon moment.

«Nous voulons que tous les enfants australiens grandissent en bonne santé, et la vaccination est indispensable pour cela. »

Le gouvernement va également annoncer une nouvelle campagne pour informer les parents et les fournisseurs de soins de santé sur ce qu’ils peuvent faire pour protéger leurs bébés de la coqueluche.

Les nouveaux parents recevront des renseignements sur les lettres prévoyant l’immunisation contre la coqueluche, et la façon d’identifier la maladie et empêcher sa propagation.

SOURCE

REALINFOS

Partager cet article
Repost0
26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 11:11
Un virus qui peut tuer la moitié de la population mondiale a été fabriqué en laboratoire...
tem-avian-virus-influenza.n.jpgCette découverte est annoncée aujourd'hui, mais nous savons que ce virus a été conçu depuis plusieurs années dans des laboratoires militaires.  Pourquoi avoir créé ce monstre génétique capable de tuer des milliards d'êtres humains?  La campagne du Center for Diseases Control (CDC) sur le thème de "L'Apocalypse Zombies" pourrait prendre tout son sens...
Un virus qui a le potentiel de tuer jusqu'à la moitié de la population mondiale a été créé dans un laboratoire.  Le virus est une souche de la grippe H5N1, grippe aviaire, qui a été génétiquement modifiée pour devenir beaucoup plus contagieuse.  Il a été créé par Ron Fouchier du Centre médical Erasmus à Rotterdam, Pays-Bas, lequel a présenté son travail au public lors d'une conférence sur l'influenza en septembre dernier.
Fouchier dit que la souche circule chez les animaux, notamment les oiseaux, mais qu'elle affecte rarement les humains.  Dans les dix années depuis l'émergence de la grippe aviaire en Asie, moins de 600 cas ont été signalés chez les humains.  Mais la souche H5N1 est particulièrement vicieuse, tuant environ la moitié des patients diagnostiqués.  Ce qui l'empêche de devenir une menace majeure pour la santé publique c'est qu'elle n'est pas facilement transmissible chez l'homme.  Ou du moins, jusqu'à présent...
Les chercheurs de l'équipe de Fouchier ont utilisé des furets pour tester la réponse humaine à la grippe.  Ils ont transmis la H5N1 d'un à l'autre pour rendre le virus plus adaptable sur de nouveaux hôtes.  Après 10 générations, le virus avait muté pour devenir aéroporté, ce qui signifie que les furets malades ont infecté les bêtes à proximité.
Une étude génétique a montré que la nouvelle souche avait seulement 5 mutations par rapport à l'originale et qu'elles se sont toutes produites dans leur milieu naturel.  La souche de Fouchier est aussi contagieuse que la grippe saisonnière humaine qui tue des dizaines de milliers de personnes chaque année.
"Je ne peux pas penser qu'un autre organisme pathogène est aussi effrayant que celui-ci", a déclaré un généticien microbien qui a travaillé sur la maladie du charbon pendant de nombreuses années.  Il ne croit pas que l'anthrax est aussi effrayant que cette souche.
Source:
Partager cet article
Repost0
24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 10:49

 

i_dent_ificationLe dentier décline son identité…


Ce système relève de la technologie RFID (terme venant de l'anglais «radio frequency identification»). François Clerc insère dans la prothèse un petit tube qui comprend une antenne en cuivre associée à une puce en silicium servant de mémoire. Dans cette puce, on inscrit les informations nécessaires à l'identification de la prothèse, comme le nom, prénom et date de naissance de son propriétaire. Ensuite, grâce à un lecteur, on peut, à quelques centimètres de distance, lire ces données essentielles. «Plus l'antenne est petite, plus la distance de lecture est réduite, précise François Clerc. Dans ce cas précis, il faut vraiment que le lecteur frôle la prothèse dentaire pour qu'on puisse lire les informations. Pas de danger que la puce soit lue par n'importe qui, n'importe où.»

Les Belges mettent une puce dans la dent


Les recherches du François Clerc ont résonné jusqu'en Belgique. A L'Université catholique de Louvain (la version flamande, pas wallonne), Patrick Thevissen, médecin dentiste, s'est inspiré du travail sur les prothèses pour franchir un pas supplémentaire. Partant du principe que les dents sont l'organe du corps humain le plus résistant, il a cherché à implanter une puce RFID dans une dent. Cette puce peut contenir, comme pour les dentier, une sorte de fiche d'identité de la personne.
Le plus difficile a été de réduire la taille de l'étiquette RFID. Utilisée par les vétérinaires pour les placer sous la peau des chiens ou des chats, elle est trop grande pour entrer dans une molaire. Patrick Thevissen a donc dû patiemment enlever des couches de protection pas nécessaires pour l'usage dentaire. La suite n'est plus très compliquée: l'implantation de la puce dans la dent s'apparente à une simple opération de plombage.

Les dents, l'organe le plus résistant


Lors d'incendies, de catastrophes naturelles ou d'accidents d'avion, les corps retrouvés sont souvent méconnaissables. Lors du Tsunami qui a ravagé l'Asie fin 2004, la majeure partie des victimes identifiées l'ont été grâce aux dents. La procédure est minutieuse : la police recherche les dossiers médicaux des personnes présumées mortes. Puis, si il existe des radiographies de leurs dents réalisées avant leur décès, on les compare sur le terrain aux radiographies post mortem. «Avec une puce dans les dents, explique le Professeur Willems, professeur à l'Université catholique de Louvain, le travail des médecins légistes lors de catastrophes serait nettement facilité. Cela leurs éviterait une tâche longue et difficile, et cela coûterait moins cher.»

A Lausanne, à L'Institut médico-légal, le Dr Michel Perrier reste sceptique. A la lumière de son expérience sur le terrain, il doute que cette application puisse un jour se généraliser: «Il me semble qu'il est beaucoup plus facile de falsifier une puce qu'une denture avec toutes les caractéristiques qu'elle possède. Sans compter la réticence des gens à se faire implanter une puce dans la bouche.»

Aujourd'hui, les puces RFID sont bientôt partout. Elles s'utilisent pour tracer les matières premières ou les produits finis, pour le suivi des bagages ou de stocks, ou en encore pour le marquage d'animaux domestiques. Certains vont même jusqu'à s'en implanter sous la peau, comme ces clients d'une discothèque de Barcelone. Aux Etats-Unis, on équipe également les patients atteints d'Alzeimer. Bref, la technologie RFID a de beaux jours devant soi. Reste à voir si Monsieur Tout le monde accepte de porter en bouche sa carte d'identité.

Source: Rusty James News


UNE DENT CONTRE QUI ? par unzip

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 10:41

Un enfant américain sur cinq ne mange pas à sa faim


00000000000000.jpgAux Etats-Unis,  l'insécurité alimentaire touche de plus en plus de ménages. Près de 6,4 millions d'entre eux ont vu leur habitude alimentaire bousculée en raison d'un budget trop serré. Les enfants en sont particulièrement touchés. Les initiatives se multiplient. A lire sur CNN.

Communautés touchées

Le nombre de familles américaines en manque de ressource alimentaire a augmenté ces dernières années. Selon le département américain de l'Agriculture (USDA), en 2010, 14,5% des ménages américains -soit 17,2 millions de personnes- se montrent incapables de nourrir toutes les bouches qui le composent. L'association "Feeding America", qui comporte un réseau de plus de 200 banques alimentaires à travers le pays, révèle que près d'un enfant sur cinq ne mangerait pas à sa faim. Un ratio qui passe à un sur trois dans les communautés afro-américaines et latinos.

Quid en dehors de l'école?
Une situation qui a un impact sur la scolarité, la santé et le stress des enfants. Et qui s'aggrave en dehors des heures d'écoles, où ils ne peuvent compter sur la nourriture gratuite ou à prix réduit. Si ce problème concernait principalement les familles monoparentales ou vivant sous le seuil de pauvreté, un rapport de l'USDA informe qu'il touche désormais des foyers jusqu'alors préservés et qui, désormais, profitent de coupons alimentaires, de repas scolaires gratuits ou à prix réduits. "Nous voyons de plus en plus de familles de tous horizons se tourner vers une assistance pour répondre à ses besoins alimentaires", remarque Paula Thornton-Greear, porte-parole de "Feeding America".

Programmes télé

Une démarche pas toujours facile à entreprendre pour les adultes, qui mettent parfois du temps à accepter cet état de fait. "Nous sommes tous dans le besoin", rassure Paula. "C'est le reflet d'une société qui connaît un ralentissement énorme. Ils ne doivent pas se sentir isolés". Pour faire face, de nombreuses initiatives ont vu le jour. Outre des programmes télévisés pour enfants qui ont intégré un personnage qui aborde le problème de l'insécurité alimentaire, d'autres, plus concrètes, naissent dans les différents établissements scolaires du pays. À Orange County (sud de Los Angeles), le restaurateur Bruno Serato prépare tous les soirs environ 300 assiettes de pâtes pour les enfants à qui les portes de son restaurant Anaheim sont ouvertes. "Ils sont des clients. Ceux que je préfère", confie-t-il. 

Manger sain et à moindre coût
Dans une école de Brooklyn, à New York, un autre chef participe à un programme qui enseigne aux parents et aux enfants comment manger sainement à moindre coût. Lancé il y a vingt ans, "Cooking Matters" sert aujourd'hui des repas complets  à deux dollars la portion à plus de 11 000 familles à travers le pays. Et est ouvert aux personnes aux budgets limités, qui viennent de perdre leur emploi ou qui font appel aux banques alimentaires. Outre la dimension économique, "Cooking Matters" rassemble parents et enfants autour d'une activité commune et sensibilise tout un chacun sur l'importance du shopping intelligent et de la nourriture saine. 

Et quand les parents travaillent, les enfants sont les bienvenus. Seuls. "Les parents sont occupés, ont souvent deux emplois", constate Aliyah Rowe, coordinatrice de "Cooking Matters" d'Harvest City à New York. "Les enfants qui suivent le cours sont tellement excités quand ils rentrent chez eux qu'ils inspirent les parents à passer du temps en cuisine en leur compagnie". (LS)

 

Source: 7s7.be

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 10:38

 

La grippe espagnole de 1918 est due aux vaccins

 

3348161cmduj.jpgPour continuer sur le sujet de la grippe, voici un texte traduit par Caralmera (je le précise) qui n'est pas récent (1976), mais qui met bien en lumière les vraies causes de la fameuse grippe dite "espagnole" qui a tué 20 millions de personnes à la fin de la première guerre mondiale.

 

 

L'ÉPIDÉMIE DE GRIPPE ESPAGNOLE DE 1918 A ÉTÉ PROVOQUÉE PAR LES VACCINATIONS

 

Comme cela a été exposé auparavant, toutes les autorités médicales et non-médicales sur la vaccination conviennent que les vaccins sont conçus pour provoquer de manière atténuée les maladies qu'ils sont censés prévenir. Mais ils savent aussi et reconnaissent qu'il n'y a aucun moyen de prédire si le cas sera léger ou sévère - voire mortel. Cette grande incertitude qui met en jeu la vie des gens fait de la vaccination une procédure douteuse, anti-scientifique et extrêmement dangereuse.

 

Beaucoup de vaccins provoquent aussi d'autres maladies en plus de celle contre lesquelles ils sont conçus. Par exemple, le vaccin de la variole provoque souvent la syphilis, la paralysie, la lèpre et le cancer. Le vaccin contre la Polio, la diphtérie, la typhoïde, ainsi que la rougeole, le tétanos et toutes les autres injections sont souvent la cause de diverses autres étapes de la maladie telles que l'encéphalite post-vaccinale (inflammation du cerveau, ) la paralysie, la méningite cérébro-spinale, la cécité, le cancer (parfois dans les deux ans), la tuberculose, (deux à vingt ans après l’injection), l'arthrite, les maladies rénales, les maladies cardiaques (insuffisance cardiaque, parfois en quelques minutes après l’injection, et parfois plusieurs heures après. ). Des lésions nerveuses et de nombreuses autres affections graves suivent également les injections.

 

Lorsque plusieurs injections sont données (différents vaccins) en quelques jours ou à quelques semaines d'intervalle, elles déclenchent souvent l'intensification de toutes les maladies à la fois, une si grande quantité de poison mortel étant injecté directement dans le système sanguin fait que le corps ne peut pas le gérer. Les médecins disent que c’est une nouvelle maladie et procèdent à la suppression des symptômes.

 

Lorsqu'un poison est ingéré, le système de défense interne a une chance de l'éjecter rapidement par des vomissements, mais quand les poisons sont injectés directement dans le corps, outrepassant toutes les défenses naturelles, ces poisons dangereux circulent immédiatement en quelques secondes et continuent à circuler jusqu'à ce que toutes les cellules soient empoisonnées.

 

J'ai entendu dire que sept hommes étaient tombés raide morts dans un cabinet de consultation après avoir été vaccinés. C'était dans un camp militaire, donc j'ai écrit au Gouvernement pour vérifier. Ils m'ont envoyé le rapport du Secrétaire américain de guerre, Henry L. Stimson. Ce rapport a non seulement confirmé les sept morts après injection, mais il indiquait aussi qu'il y avait eu 63 morts et 28,585 cas d'hépatite comme conséquence directe du vaccin contre la fièvre jaune en seulement 6 mois de guerre. Et ce fut une seule sur les 14 à 25 injections administrées aux soldats. Nous pouvons imaginer les dégâts que toutes ces injections ont pu faire aux hommes.

 

La première guerre mondiale a été de courte durée, les fabricants de vaccins ont été incapables d'écouler tous leurs stocks. Comme ils étaient (et sont toujours) une entreprise à but lucratif, ils ont décidé de les vendre au reste de la population. Donc ils ont réalisé la plus grande campagne de vaccination dans l'histoire des États-Unis. Il n'y avait aucune épidémie pour justifier cette campagne, alors ils ont utilisé d’autres astuces. Leur propagande prétendait que les soldats rentraient des pays étrangers avec toutes sortes de maladies et que chacun devait avoir toutes les injections en cours sur le marché.

 

Les gens les ont crus parce que, tout d'abord, ils ont voulu croire leurs docteurs et deuxièmement les soldats qui revenaient avaient bien sûr été malades. Ils ne savaient pas que les maladies venaient des vaccins faits par le médecin, et les médecins militaires ne le leur dirent pas. Beaucoup de soldats sont devenus infirmes à vie à cause de ces maladies médicamenteuses. Beaucoup ont eu des encéphalites post-vaccinales, mais les médecins les ont nommées névrose de guerre, bien que beaucoup de ces soldats n'aient jamais quitté le sol américain.

 

L’accumulation de maladies provoqué par les nombreux vaccins a désorienté les médecins, puisqu’ils n'y avait jamais eu une telle frénésie de vaccination avant d’utiliser tant de vaccins différents. La nouvelle maladie qu'ils avaient créée avait les symptômes de toutes les maladies qu'ils avaient injectées dans l'homme. Il y avait une forte fièvre, une grande faiblesse, une perturbation intestinale et une éruption cutanée abdominale, caractéristiques de la fièvre typhoïde. Le vaccin contre la diphtérie a provoqué une congestion des poumons, des frissons et de la fièvre, des gonflements, un mal de gorge par obstruction de la fausse membrane et une suffocation étouffante due à la difficulté de respirer, suivie d’un halètement et de la mort, où le corps devenait noir à cause du sang stagnant qui avait été privé d'oxygène durant les stades de suffocation. Au début ils l'ont appelé Peste noire. Les autres vaccins provoquent leurs propres réactions —paralysie, dommages au cerveau, trismus, etc.

 

Lorsque les médecins ont essayé de réprimer les symptômes de la typhoïde avec un plus fort vaccin, ce dernier a provoqué une forme de typhoïde pire qu'ils ont appelé fièvre paratyphoïde. Mais quand ils ont concocté un vaccin encore plus fort et plus dangereux pour réprimer la paratyphoïde, ils ont créé une maladie encore bien pire pour laquelle ils n'ont pas trouvé de nom. Comment devaient-ils l'appeler ? Ils n'ont pas voulu dire aux gens ce que c’était vraiment - leur propre monstre Frankenstein, créé avec leurs vaccins et leurs médicaments immunosuppresseurs. Ils ont voulu faire diversion, donc ils l'ont nommée la grippe espagnole. Elle n’était bien sûr pas d’origine espagnole et le peuple espagnol a mal vécu le fait que ce fléau mondial leur soit reproché. Mais le nom est resté et les médecins américains et les fabricants de vaccin n'ont pas été soupçonnés du crime de cette grande dévastation — l'Épidémie de Grippe de 1918. C’est seulement au cours de ces dernières années que les chercheurs ont déterré les faits et blâmé les vrais auteurs.

 

Certains des soldats peuvent être allés en Espagne avant de rentrer chez eux, mais leurs maladies ont été créées dans leurs propres camps militaires américains. Nos hommes de médecine utilisent toujours cette même déviation. Quand leurs propres vaccins (exigés pour le voyage) provoquent des maladies à l'étranger, ils l'utilisent comme un motif de campagne de peur pour faire se ruer les gens dans les centres de vaccination. Vous souvenez-vous de la Grippe de Hong-Kong et de la Grippe asiatique et des peurs de la Grippe de Londres ? Ces épidémies ont toutes été médicalement mélangées avec le rhume commun que les gens ont habituellement chaque année.

 

Aujourd'hui (1976) nous sommes en train de travailler une fois de plus sur les fabricants de vaccins épidémiques et leur effort pour créer une autre combine de vente de vaccins à plusieurs millions de dollars. Leurs escrocs ont déjà parlé au président Ford de remettre plus de 135 millions de dollars pour commencer leur racket des vaccins. Même les compagnies d'assurance ont refusé de participer à un tel régime évidemment tordu et dangereux. Donc, encore une fois, les arnaqueurs médicaux et les arnaqueurs de médicament ont incité les fonctionnaires appropriés du gouvernement à garantir l'assurance contre les possibles milliards de dollars de poursuites judiciaires qui pourraient être intentées contre les promoteurs de vaccins si la campagne s'effectuait comme prévu.

 

Les déclarations des promoteurs de vaccin contre la grippe porcine que le vaccin n’est pas méchant, est fausse et qu'il protégera contre la grippe est également faux. Cinquante-six personnes sont mortes après injection, certaines au bout de 48 heures. Il y a confusion et désaccord parmi les médecins concernant les aspects du vaccin, depuis sa sécurité et son efficacité jusqu’à sa nécessité, et le choix des candidats favorables et de ceux qui devraient être mis en garde.

 

Leur technique de propagande consiste à faire ressembler la grippe porcine à la grippe de 1918 qui a tué 20.000.000 de personnes. Ils n'ont aucun échantillon de sang de l'épidémie de grippe 1918 pour le prouver. C'était il y a 58 ans et les docteurs ont été aussi troublés et mal organisés à l’époque qu’aujourd’hui. Pourtant, une chose est certaine — la grippe espagnole de 1918 était une maladie induite par vaccination, provoquée par un extrême empoisonnement du corps par accumulation de différents vaccins. Les soldats de Fort Dix qui auraient eu la Grippe porcine avait reçu de nombreux vaccins comme ceux qui ont provoqué l'épidémie de grippe de 1918. L'épidémie de grippe à Fort Dix n'a été en aucune manière liée au porc. Il n'y avait aucun cochon au camp (à moins que nous ne voulions d'un ton sarcastique nommer ''porcs'' les promoteurs du vaccin qui a provoqué les maladies).

 

Pour ajouter à la confusion, les médecins disent aux gens qu'il y a plusieurs sortes différentes de grippe; que celle des soldats de Fort Dix serait la grippe AVictoria, qu'il y aurait d'autres souches de virus de grippe et aussi, que le vaccin de la grippe porcine - que tant de personnes ont déjà eu-, ne les protégera pas contre les nombreux autres types de grippe. Ces arguments seront utilisés comme une porte de sortie en cas de poursuites judiciaires, lorsque davantage de victimes commenceront à se manifester. Les médecins diront que le vaccin a échoué parce que c'était le mauvais type de grippe pour ce vaccin. Évidemment, personne ne peut le prouver d'une manière ou d’une autre car les virus sont des organismes illusoires, invisibles, instables et imprévisibles. La définition de « virus » dans le dictionnaire est "poison morbide." Les vaccins injectés dans le corps sont du poison et provoquent les réactions typiques du poison. Le virus (le poison) n’y va pas par quatre chemins et attaque les gens.

Donc, il n'y aura aucune épidémie de grippe porcine à moins que les promoteurs de vaccin n’en fassent un comme ils l’ont fait pour l'épidémie de grippe de 1918. Il ne tuera pas 20.000. 000 de personnes à moins que les gens ne se soumettent aux injections produisant la maladie. Il y a aussi d'autres causes de maladie en plus des vaccins, comme la mauvaise nourriture, qui a été dévitalisée et contaminée par les agents de conservation empoisonnés et les préparations de drogues artificielles. Il y a encore de nombreuses causes de maladie mais aucune maladie n'est contagieuse (Voir le chapitre sur la théorie de germe).

 

Les campagnes de vacciation vont et viennent au gré des promoteurs d'un vaccin concocté au moindre prétexte. En 1957 ils ont essayé de provoquer une campagne de vaccination pour ce qu’ils ont essayé d'appeler la grippe Asiatique. Un éditorial du Herald and Express du 29 août 1957 sous-titrait, "La peur de l'endoctrinement de la grippe." En voici un extrait :

 

« La probabilité que ce pays va connaître une épidémie de grippe asiatique l’automne et l’hiver prochains a déclenché une tempête dans un verre d'eau »

 

« Même le Département Américain de la Santé est un faire-valoir de cette panique — et a publié des déclarations qui font peur au public, plutôt que de le rassurer en montrant que cette épidémie, bien qu’étendue, ne donne aucun signe de plus grande dangerosité que notre habituelle inondation de maladies semblables à la grippe lorsque l’hiver arrive.

 

'Ceux qui ont lu entre les lignes se demandent même si tout cela ne serait pas un peu de la super vente de la part de ceux qui fabriquent et vendent les vaccins qui sont en cours de préparation.... »

 

 

J’AI ETE UN OBSERVATEUR SUR PLACE DE L'ÉPIDÉMIE DE GRIPPE DE 1918

 

Tous les médecins et les gens qui vivaient à l'époque de l'épidémie de grippe espagnole de 1918 disent que c'était la maladie la plus terrible que le monde ait jamais eu. Des hommes forts, vaillants un jour mourraient le lendemain. La maladie avait les caractéristiques de la peste noire ajoutée à la typhoïde, la diphtérie, la pneumonie, la variole, la paralysie et toutes les maladies contre lesquelles les gens avaient été vaccinés tout de suite après la première guerre mondiale. Quasiment la population entière avait reçu des injections "ensemencées" d’une douzaine ou plus de maladies — ou sérums toxiques. Lorsque toutes ces maladies crées par les médecins ont commencé à sortir en même temps, ce fut tragique.

 

Cette pandémie s'est éternisée pendant deux ans, maintenue en vie par l'adjonction de médicaments - poisons administrés par les médecins qui ont essayé de supprimer les symptômes. Autant que je sache, la grippe frappe seulement le vacciné. Ceux qui avaient refusé les injections ont échappé à la grippe. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations donc nous sommes restés en bonne santé tout le temps. Nous savions à partir des travaux de santé de Graham, Trail, Tilden et d'autres, que les gens ne peuvent pas contaminer le corps avec des poisons sans causer de maladie.

 

Quand la grippe fut à son apogée, tous les magasins ont fermé ainsi que les écoles, les entreprises — même l'hôpital, puisque les médecins et les infirmiers avaient été vaccinés aussi et étaient malades de la grippe. Il n’y avait personne dans les rues. On aurait dit une ville fantôme. Il nous semblait être la seule famille sans grippe; donc mes parents sont allés de maison en maison faire ce qu'ils pouvaient pour s'occuper des malades, puisqu’il était impossible de trouver un médecin à l'époque. S'il était possible pour les germes, bactéries, virus, ou bacilles de provoquer une maladie, il y avait de fortes chances pour qu’ils attaquent mes parents lorsqu’ils passaient plusieurs heures par jour dans les chambres des malades. Mais ils n'ont pas attrapé la grippe et ne nous ont pas rapporté ces germes qui pouvaient nous attaquer ou nous provoquer je ne sais quoi... Aucun membre de notre famille n'a eu la grippe — pas même le début d’un reniflement — et c’était un hiver avec neige épaisse.

 

Quand je vois les gens se hérisser quand quelqu'un près d'eux éternue ou tousse, je me demande combien de temps il leur faudra pour apprendre qu'ils ne peuvent en aucune façon être contaminés. La seule façon qu'ils puissent avoir une maladie est de la développer eux-mêmes en mangeant mal, en buvant, en fumant ou faisant d'autres choses qui provoquent des intoxications internes et abaissent la vitalité. Toutes les maladies sont évitables et la plupart sont guérissables avec les bonnes méthodes, inconnues des médecins classiques, et que même des médecins anti-médicaments ne connaissent pas non plus.

 

On a dit que l'épidémie de grippe de 1918 a tué 20 millions de personnes. Mais, en réalité ce sont les médecins qui les ont tué avec leurs traitements et leurs médicaments brutaux et mortels. C'est une accusation sévère, mais néanmoins vraie, à en juger par le succès des thérapeutes anti-médicaments comparé à celui des docteurs en médecine.

 

Tandis que médecins et les hôpitaux perdaient 33 % de leurs cas à cause de la grippe, les hôpitaux de santé alternatifs tels que Battle Creek, Kellogg et MacFadden du RESTORIUM obtenaient presque 100% de guérisons avec leur cure thermale, bains, lavements, etc, le jeûne et certaines autres méthodes de guérison simples, suivies de régimes soigneusement élaborés à base d'aliments naturels.

Un thérapeute alternatif n'a pas perdu un seul patient en huit ans. Le traitement très efficace d'un de ces médecins n’utilisant pas de médicaments n'ayant pas perdu ses patients sera communiqué dans l'autre partie de ce livre, intitulée « VACCINATION CONDAMNÉE », qui sera publié un peu plus tard.

 

Si les médecins avaient été aussi en avance que les médecins ne prescrivant pas de médicaments, il n’y aurait pas eu ces 20 millions de décès dus au traitement médical de la grippe.

 

Il y avait sept fois plus de maladies parmi les soldats vaccinés que parmi les civils non vaccinés, et les maladies étaient celles contre lesquelles ils avaient été vaccinés. Un soldat qui était revenu de l'étranger en 1912 m'a dit que les hôpitaux militaires étaient remplis de cas de poliomyélite et il s'est demandé pourquoi les hommes en pleine croissance avaient contracté une maladie infantile. Maintenant, nous savons que la paralysie est une stigmatisation commune de l'intoxication par le vaccin. Ceux de chez nous n'ont eu de paralysie.

 

Source: Bistrobarblog

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 10:36

La grippe H5N1 comme arme de guerre ?

 

h5n1.jpgUn article encore bien effrayant sur les méfaits des scientifiques.

 

Des scientifiques transforment la grippe aviaire mortelle en arme, et songent à divulguer les résultats nécessaires à la création d'une arme biologique.

 

On dirait quelque chose sorti d’une étrange bande dessinée de science- fiction, mais les scientifiques ont bel et bien transformé le virus de la grippe aviaire H5N1 en arme, et songent à divulguer leurs recherches.

 

Les expériences, qui ont nécessité 5 mutations du virus, ont rendu la souche hautement contagieuse entre des furets----modèle animal utilisé pour étudier l’infection grippale humaine.

 

Bien sûr, de nombreux scientifiques avertissent maintenant que si une telle recherche était rendue publique, elle pourrait conduire à la fabrication d’armes biologiques mortelles.

Rendre le virus hautement contagieux pourrait conduire à une épidémie très étendue. Le virus H5N1 a infecté des oiseaux et d’autres animaux ces dernières années et également 500 personnes.

La raison pour laquelle ce n’est pas devenu une épidémie est dû au fait que les humains atteints ne sont généralement pas très contagieux. Ainsi, en le modifiant pour qu’il devienne hautement contagieux est probablement le coup le plus tordu qui puisse être fait.

On dirait que ces scientifiques cherchent à ce que le nouveau virus militarisé de la grippe aviaire infecte le public.

 

Les craintes d'un ''bioterrorisme'' surgissent alors que les scientifiques poussent à la divulgation des recherches sur la grippe aviaire comme arme de guerre

 

Le Dr Thomas Inglesby, expert en bioterrorisme et directeur du centre de biosécurité du Centre Médical de l’Université de Pittsburgh, souligne que c’est tout simplement une mauvaise idée de la part des scientifiques de ''militariser'' la grippe aviaire, c’est encore pire de vouloir publier les résultats :

 

“C’est une très mauvaise idée de la part des scientifiques de transformer un virus mortel en un virus mortel et très contagieux. Et c’est une deuxième mauvaise idée de leur part de vouloir publier leurs méthodes pour que d’autres puissent ainsi les copier », dit Inglesby

 

Pour l’instant aucun journal scientifique n’a publié les découvertes, et Inglesby espère qu’aucun ne le fera. Le virologiste Ron Fouchier du Centre Médical Erasmus en Hollande est responsable de la militarisation du virus et présente les découvertes lors d'une conférence sur la grippe tenue à Malte. Il a récemment été attaqué par une organisation connue comme le Comité de Conseil National Scientifique de Biosécurité, un comité d’experts indépendants sur la recherche biologique.

Ron Fouchier dit que l'idée de faire muter le virus pour qu'il devienne très contagieux est assez choquant, mais le fait que certains scientifiques poussent maintenant à communiquer les résultats est plus que bizarre.

Il est évident que ces scientifiques n’ont aucune considération pour la santé publique.


 

Scientists Weaponize Deadly Bird Flu, Consider Releasing Results Necessary to Create Bioweapon

 

Anthony Gucciardi- Activist Post

 

It sounds like something out of a bizarre science fiction comic book, but scientists have weaponized the H5N1 bird flu virus, and are actually considering releasing the research.

 

The experiments, which involved mutating the virus a total of 5 times, made the strain highly contagious between ferrets — the very animal model used to study human flu infection.

 

Of course many scientists are now warning that if such research was made public it could result in the construction of deadly bioweapons.

 

 

Ad

Making the virus highly contagious could result in widespread infection. The H5N1 virus has been infecting birds and other animals in recent years, though it has also infected around 500 people.

 

The reason that it has not become an epidemic is due to the fact that affected humans are usually not very contagious. Therefore, altering the virus to become highly contagious is quite possibly the deadliest tweak which could be done.

 

It seems that these scientists are just asking for the new weaponized bird flu virus to infect the public.

 

Bioterrorism fears arise as scientists push to release weaponized bird flu research

 

Dr. Thomas Inglesby, a bioterrorism expert and director of the Center for Biosecurity of the University of Pittsburgh Medical Center, notes that it is simply a bad idea for scientists to militarize bird flu, let alone publish the results:

'It’s just a bad idea for scientists to turn a lethal virus into a lethal and highly contagious virus. And it’s a second bad idea for them to publish how they did it so others can copy it,' says Inglesby.

So far no scientific journal has published the findings, and Inglesby hopes that none of them will. Virologist Ron Fouchier of the Erasmus Medical Center in the Netherlands is responsible for weaponizing the virus and presenting the findings at a flu conference held in Malta. He has recently come under attack by an organization known as the National Science Advisory Board for Biosecurity, a committee of independent experts on biological research.

 

Ron Fouchier says that mutating the virus to become highly contagious is shocking enough, but the fact that some scientists are now pushing for the release of the research is beyond outlandish.

 

It seems apparent that these scientists have zero regard for public health.

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 10:35
Dans le coma à cause d'une coloration L'Oréal


media_xl_4484837.jpgUn peu plus d'un mois après le décès de Tabatha Mc Court, une autre femme britannique se retrouve dans le coma à cause d'une coloration de supermarché. Le diagnostic est identique: les deux femmes ont souffert d'une réaction allergique sévère due aux produits chimiques contenus dans la teinture. 

La BBC explique que Julie McCabe, 38 ans et mère de deux enfants, utilisait la même coloration L'Oréal Préférence toutes les six semaines depuis des années et n'avait jamais rencontré de problèmes. Le mois dernier, après avoir appliqué le produit sur ses cheveux durant le temps de pose, elle a eu soudainement du mal à respirer et s'est effondrée alors qu'elle rinçait la teinture. 

Julie McCabe est dans le coma depuis l'incident et les docteurs estiment qu'elle a peu de chances d'en sortir. Ils soupçonnent le colorant p-phénylènediamine (PPD), présent dans presque toutes les colorations de supermarché, d'être responsable de l'allergie. La famille de la victime menace d'attaquer L'Oréal en justice. Le géant cosmétique s'est dit très inquiet de la situation et a proposé d'envoyer des échantillons de ses produits pour les tester. (CD)

 

Source: 7s7.be

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 01:53

Le sucre est aussi addictif que la cocaïne


0000000000000.jpgImpossible de résister à un petit plaisir sucré lorsqu'il se présente à vous? C'est peut être le signe d'une dépendance aux friandises. (photo: DR)

Le cerveau des toxicomanes et celui des personnes accros aux sucreries fonctionnent de la même manière face à l'objet de leurs désirs. 

Selon une étude américaine, les acides gras et les friandises saturées de sucre rendraient les consommateurs tout aussi dépendants que la cocaïne ou la nicotine, rapporte The Huffington Post. «Les résultats sont évidents, déclare Nory Volkow de l'institut national américain sur l'abus des drogues. Dans le cerveau, on constate d'importantes concordances entre la manière dont agissent les drogues et la nourriture». 

Au cours de leurs recherches, les scientifiques ont remarqué que les obèses et les mangeurs compulsifs étaient irrésistiblement attirés par des images de malbouffe. Les cocaïnomanes sont tentés par un sac de poudre blanche de la même manière. Cela s'explique car, dans les deux cas, la même zone du cerveau s'active: le cortex frontal. Lorsque l'image d'un aliment ou d'une dose de drogue parvient au cerveau, le cortex produit de la dopamine (un type de neurotransmetteurs) en grande quantité. 

Des rats accros aux gourmandises 

Pour confirmer ces faits, une étude a été menée sur des rats. Chaque jour, durant une heure de temps, des rats ont eu accès à du bacon, des morceaux de cheesecake et des cakes décorés de glaçages crémeux. Les chercheurs ont découvert que lorsque ces friandises étaient présentées constamment aux rats, ils ne pouvaient plus s'arrêter d'en manger. Ces résultats sont troublants pour le professeur Paul Kenny, qui a mené cette recherche: «C'est ahurissant, la nourriture a exactement le même effet sur le cerveau que l'apport constant de cocaïne». 

Dorren Virtue a consacré un ouvrage au phénomène des mangeurs compulsifs, «Ce que vos fringales signifient et comment les stopper». Voici ce qu'elle suggère de faire avant de craquer pour une friandise: «Si, après avoir analysé vos envies, vous découvrez de la colère, de la frustration ou du stress, demandez-vous comment vous pourriez faire pour réduire ces émotions négatives. Y a-t-il quelqu'un à qui vous pouvez parler ou des changements que vous pouvez opérer dans votre vie? Si vous réduisez la source de vos impressions inconfortables, vous n'aurez plus envie de sucreries».

 

Source: l'Essentiel 

Partager cet article
Repost0
19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 18:16

 

La santé ou les superprofits ?

Source: amessi.org

 

SanteProfit1.jpgHistoire secrète. Des molécules actives contre l’odème cérébral, la cirrhose du foie, le sevrage des toxicomanes, l’acné, la calvitie sont abandonnées, estimées pas assez rentables par le groupe pharmaceutique HMR.

 


 

 

 

Le prix de la nouvelle concentration pharmaceutique, la fusion HMR-Rhône Poulenc, frôle l’insoutenable. Jamais le divorce n’a été aussi flagrant entre la soif de profits et les besoins sociaux.

Pas assez rentables... 169 molécules en cours de développement et codées RU (Roussel UCLAF) vont être abandonnées ou bradées par le groupe HMR (Hoechst-Marion- Roussel) dans la perspective de sa fusion avec Rhône-Poulenc - Rorer, pour accoucher d’Aventis, un mastodonte de la pharmacie. Arrêts de recherches, suppressions d’emploi, fermetures de sites. C’est le prix de la course absurde au gigantisme, au mépris des missions de santé publique. Au mépris des malades et de leurs familles.

Abandonnée, la molécule RU 51599. Elle annonce la création de médicaments inédits pour lutter contre les odèmes cérébraux. Actuellement, on ne sait guère contrer l’odème qui se forme sous le crâne, à la suite d’une lésion, d’une tumeur ou d’une opération. L’issue s’avère souvent fatale. Le RU 51599 permet l’évacuation du liquide comprimant l’encéphale. Cette molécule semble également prometteuse pour résorber l’ascite qui gonfle le ventre des malades atteints de cirrhose du foie. Les études ont été stoppées en phase 2, l’avant dernière avant la commercialisation. Motif : les médicaments issus de cette molécule innovante ne seraient pas assez rentables, leur usage restant limité aux centres hospitaliers.

Abandonnée l’ingénieuse molécule RU 58841, un anti-androgène en pommade, qui ouvre la voie à de nouveaux traitements de la calvitie et de l’acné. HMR préfère renoncer aux années de recherches effectuées, plutôt que de finaliser le produit. Il met en avant d’éventuels effets secondaires. En réalité le groupe a décidé de liquider toutes ses activités en endocrinologie. Décision catastrophique. Le site de Romainville (ex-Roussel UCLAF) spécialisé dans ces recherches est reconnu dans le monde entier. Tout un savoir-faire, une capacité d’expertise en ce domaine, sont menacés de disparaître. Cette frénésie de fusions a déjà fait rétrograder la France du deuxième rang à la dixième place mondiale, pour la mise au point de molécules.

Abandonné également, un projet précurseur pour faciliter le sevrage des toxicomanes en s’attaquant aux phénomènes de dépendance. L’exploitation d’un hasard, au détour d’une autre recherche. À base hormonale, les traitements issus de cette découverte ne substitueraient pas une dépendance à une autre. Espoir inédit. Ce projet inaugure une nouvelle stratégie pour lutter contre les dépendances. Stoppé. HMR ne veut pas associer son sigle au traitement des toxicomanies. Pudibonderie anglo-saxonne oblige...

La même hypocrisie avait conduit Roussel UCLAF à brader, en 1996, la première molécule anti-hormone, le RU 486 (mifépristone), dite pilule abortive, sous la pression du Vatican et des groupes intégristes aux USA. À l’époque le président de Roussel UCLAF, le Dr Édouard Sakiz, n’avait pas accepté le diktat américain. Depuis, Il a claqué la porte et créé un petit laboratoire privé, Exelgyn, pour fabriquer cette pilule " propriété morale des femmes ". Un pied de nez au gigantisme.

HMR persévère dans la logique inverse. Déjà, l’Humanité avait révélé, le 12 juin 1996, l’abandon de la RU 58668, un anti-estrogène très prometteur dans le traitement des cancers du sein, issus de dérèglements hormonaux. Deux cent cinquante mille femmes affrontent, chaque année dans le monde, cette maladie hautement mortelle. Mais pour la direction, le RU 58668 n’était pas susceptible de générer suffisamment de profits. Jean-Pierre Godard, le président de Roussel UCLAF nous avait avoué à l’époque que la " question fondamentale " pour lui, c’était : " Où en est le besoin médical non satisfait, qui a un potentiel suffisamment attractif pour que je mette mon argent dessus ? " Pas attractif, le RU 58668 ? Il dispose pourtant de hautes potentialités pour faire régresser les tumeurs, mais aussi pour réduire les métastases.

Jamais le divorce n’avait été aussi flagrant entre les besoins de santé et la course aux profits. Désormais, la seule obsession des dirigeants d’HMR, c’est de satisfaire l’appétit des fonds de pension américains. Objectif avoué, un taux de profit de 20 % à 30 % annuel ! C’est d’autant plus scandaleux qu’en France, HMR réalise 80 % de son chiffre d’affaires avec la Sécurité sociale. Hier, les laboratoires étaient dirigés par des scientifiques et/ou des capitaines d’industrie. Voici venue l’ère des financiers, tenanciers de molécules. Pourtant, sur 40 000 maladies identifiées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), seules 15 000 bénéficient de traitements.

Écouré, un chercheur de HMR nous confie : " Arrêter une molécule n’a rien de scandaleux, si c’est sur des critères scientifiques, en cas de toxicité, par exemple. Mais actuellement, les recherches sont stoppées sur des critères économiques. HMR estime qu’un produit doit être abandonné s’il ne rapporte pas au minimum 2,4 milliards de francs. " Tous les hypergroupes pharmaceutiques adoptant la même logique, ils se ruent sur les productions les plus rentables, destinés aux pays riches. Un autre scientifique de HMR déplore cette concurrence désastreuse : " On vend des médicaments comme des aspirateurs. Les coûts de marketing deviennent dix fois plus élevés que ceux de la recherche. Il y a dix ans, si un produit n’était pas au " top ", il passait à la poubelle. On lance désormais un produit même s’il n’est pas tout à fait au point, même s’il y a déjà dix médicaments identiques sur le marché. Cela se résume à une guerre à coups de pub. Il y a une perte de l’éthique. Je ne comprends pas l’intérêt de ce gigantisme. Il existe des petits laboratoires qui vivent bien. " Avec d’autres chercheurs et salariés d’HMR, il réfléchit à une solution alternative à la vente programmée du site de Romainville .

Cette logique du tout profit mène à une catastrophe planétaire. Les pays pauvres sont livrés à eux mêmes. Le prix Nobel de la paix 1999, Médecins sans frontières dénonce cette dérive : sur plus de 1 200 médicaments nouveaux, commercialisés depuis 1975, onze seulement servent à soigner une maladie tropicale. Ainsi la maladie du sommeil, transmise par la mouche tsé-tsé. L’OMS estime à 55 millions les personnes exposées dans la seule Afrique de l’ouest ; 300 000 cas par an. Sans traitement, la mort est inéluctable. Il en existait un, très risqué. Le médicament contient de l’arsenic, un poison qui achève jusqu’à 5 % des personnes traitées. Les chercheurs ont mis au point un médicament non toxique, l’Eflornithine. HMR qui a récupéré le produit, l’a finalement estimé trop coûteux et l’a retiré du marché ! L’allemand Hoechst (le H de HMR) et Rhône-Poulenc ont annoncé qu’ils renonçaient à la recherche d’un vaccin contre le sida. Parce qu’il est plus rentable de soigner lorsque la maladie est déclarée ? Il y a des crimes qui mériteraient d’être inscrits dans le Code pénal.

Mina Kaci et Serge Garde


© Journal l’Humanité

Partager cet article
Repost0